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BrèvesDernier ajout : 4 décembre 2008. Dernières brèves
Le conseil fédéral suisse va investir 6 G de francs suisses dans des obligations convertibles d’UBS pour lui permettre de renforcer ses fonds propres. Après la conversion de ces titres, il détiendra environ 9 % du capital d’UBS. La banque suisse a également annoncé la signature d’un accord avec la Banque Nationale Suisse lui permettant de transférer de son bilan des titres actuellement illiquides ainsi que d’autres actifs vers un fonds séparé, pour un montant plafonné à 60 G$ US. « Le Figaro »
Après l’Islande, c’est maintenant au tour de l’Ukraine de demander l’assistance du Fonds monétaire international (FMI), pour l’aider à faire face à la crise financière qui frappe le pays. « Le Devoir »
Incapables de faire face à leurs échéances, de grandes entreprises russes et des banques (Sviazbank et Kit Finans) font appel à l’État. Hier, c’était au tour des dirigeants du secteur automobile (AvtoVaz, Gaz, Kamaz) de réclamer au puissant vice-premier ministre, Igor Setchine, une aide de 270 à 830 G d’euros. « Le Figaro »
La Banque centrale européenne (BCE) va fournir jusqu’à 5 G d’euros de liquidités à la banque centrale hongroise, alors que les investisseurs s’inquiètent toujours des capacités de financement des banques magyares. « Nouvel Observateur »
Bien que les banques japonaises soient jusqu’ici relativement épargnées par la crise financière, le gouvernement nippon s’est déclaré prêt à injecter des capitaux dans les banques régionales si nécessaire, afin de les inciter à continuer à accorder des prêts aux petites entreprises. De plus, le Parlement japonais vient d’approuver une rallonge budgétaire de 14 G d’euros pour stimuler l’économie nationale. Cette rallonge est destinée notamment à financer des mesures d’urgence en faveur des ménages et des petites entreprises affectés par la crise économique. « Le Point »
La justice de New York a sommé l’assureur AIG, qui a échappé à la faillite le mois dernier en étant quasi nationalisé, de cesser ses « dépenses outrancières » sous peine de sanctions. Cette requête faisait référence à un séminaire luxueux qui a fait scandale. « Le Devoir »
Citadel Investment Group, l’un des plus importants gestionnaires de fonds spéculatifs au monde, avec 18 G$ US d’actifs sous gestion, a traversé en septembre dernier le pire mois de son histoire. En plein coeur de la plus grave crise financière depuis les années 30, les détenteurs de parts ont appris que le principal fonds de couverture du groupe, le fonds Kensington, accuse une baisse d’environ 22 % depuis le début de l’année. Ce recul va même jusqu’à plus de 30 % pour d’autres fonds. « Nouvel Observateur »
Les prix du baril de pétrole se négociaient autour de 72 $ US ce matin, poursuivant leur chute dans un contexte de craintes d’une récession économique mondiale. « La Presse Affaires »
Janet Yellen, présidente de la banque de Réserve fédérale de San Francisco, a annoncé mardi soir que l’économie américaine ne connaîtrait « aucune croissance » pour le 3e trimestre 2008 et qu’elle se contracterait au quatrième. Les marchés ont interprété ces paroles comme un signe annonciateur d’une récession aux États-Unis. « L’Express »
Le Trésor américain est devenu actionnaire de neuf des plus grandes institutions bancaires des États-Unis. Le coût de ce premier investissement de l’Oncle Sam, censé inspirer confiance dans le système bancaire américain, est de 125 G$ US. Et ce n’est qu’un début. Le Trésor a mis de côté un montant équivalent pour entrer dans le capital de dizaines d’autres banques et caisses d’épargne qui en feront la demande d’ici au 14 novembre. En augmentant les fonds propres des banques, l’Administration Bush espère débloquer l’offre de crédit et minimiser l’ampleur de la récession qui s’annonce. « Le Figaro »
Le 21 octobre prochain, on connaîtra le règlement des pertes reliées à la faillite de la banque d’affaires Lehman Brothers. Ce jour-là, estime Paul Jorion, professeur de l’Université de Californie, de nombreux fonds de couverture pourraient être menacés. « Beaucoup de fonds de couverture et de fonds spéculatifs risquent de tomber », ajoute-t-il. « Journal de Montréal »
L’Islande se démène sur tous les fronts, de Moscou au Fonds monétaire international (FMI), pour trouver les liquidités qui lui font cruellement défaut et échapper à la faillite. La Russie pourrait prêter 4 G d’euros. Le FMI pourrait aussi apporter son aide. Aucun pays occidental n’a été secouru par le FMI depuis 1976. « L’Express »
Hier, les élections canadiennes se sont soldées par la réélection d’un parti conservateur minoritaire.
Johnson & Johnson a confirmé sa résistance au ralentissement économique en annonçant mardi des résultats supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre et en relevant ses prévisions. Le fabricant de produits pharmaceutiques, de matériel médical, de produits d’hygiène, de santé et de cosmétiques a enregistré un profit de 3,3 G$ US, en hausse de 29,9 %, grâce à une base de comparaison favorable. En effet, une charge exceptionnelle de 528 M$ US avait été enregistrée au troisième trimestre 2007. « La Presse Affaires »
L’action concertée des gouvernements des principaux pays industrialisés a insufflé la confiance chez les investisseurs. Pendant que l’administration Bush décidait d’injecter une première tranche de 250 G$ US pour aider à la recapitalisation des banques et à la garantie des prêts interbancaires, pour faciliter l’obtention de liquidités, renforcer le système financier et dégeler le marché du crédit, l’Eurogroupe annonçait un plan de sauvetage dépassant les 1 700 G d’euros dans le but d’empêcher d’autres faillites d’institutions financières. Chacun y participe à sa façon : 470 G d’euros pour l’Allemagne, 360 G pour la France... Les principales places boursières ont rebondi fortement hier, après une semaine de débâcle historique. Par ailleurs, le pétrole est remonté légèrement, dopé par un regain de confiance. « L’Express » « La Presse Affaires »
La semaine dernière, les journaux parlaient des difficultés financières que la crise a engendrées en Islande. Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd. À preuve, la Bourse de Reykjavik, dont les échanges étaient interrompus depuis jeudi, a rouvert aujourd’hui en baisse de 76 %, les valeurs financières restant suspendues. « Le Figaro »
Le groupe bancaire espagnol Santander est parvenu à un accord pour le rachat des 75,65 % qu’il ne contrôlait pas encore dans le capital de la banque américaine Sovereign, pour un montant de 1,9 G$ US. « La Presse Affaires »
Malgré ce que plusieurs pensent ou disent, Morgan Stanley ne devrait pas être la prochaine victime de la crise. En effet, le groupe bancaire japonais Mitsubishi UFJ Financial a confirmé lundi qu’il va prendre une participation de 21 % dans la banque d’affaires américaine. Évidemment, les conditions ont été révisées, et la transaction coûtera moins cher que prévu, soit 9 G$ US. « La Presse Affaires »
L’acquisition de la banque américaine en difficulté Wachovia par sa concurrente Wells Fargo est chose faite. La Réserve fédérale américaine vient de mettre le dernier maillon à la chaîne en approuvant cette acquisition d’une valeur de 11,7 G$ US. « Journal de Montréal »
Le bénéfice trimestriel de l’entreprise américaine Cargill a bondi de 62 %, dopé par les activités industrielles. L’entreprise spécialisée dans la fourniture de produits et de services agricoles a enregistré des bénéfices de 1,49 G$ US au premier trimestre, comparativement à 917 M à la même date l’an dernier. « Globe and Mail »
Hier, les principales places boursières mondiales ont continué leur dégringolade. Selon les experts, la correction boursière est d’une telle ampleur qu’on peut maintenant utiliser le terme « krach boursier ».
Après les Etats-Unis et l’Europe, c’est maintenant au tour du Japon, deuxième puissance économique mondiale, d’être confronté à la faillite d’un de ses établissements financiers. Yamato Life, un assureur japonais, a déposé son bilan aujourd’hui. « Le Figaro »
Citigroup a annoncé jeudi l’arrêt des discussions avec Wells Fargo sur un éventuel partage des activités de Wachovia, en expliquant qu’il réclamerait des indemnités aux deux banques mais qu’il n’empêcherait pas Wells Fargo de mettre en oeuvre son projet de rachat de Wachovia. « Nouvel Observateur »
Combien vaut le producteur d’électricité canadien TransAlta ? En juillet dernier, les sociétés de placement privé LS Power Equity Partners et Global Infrastructure Partners ont offert 7,8 G$ CA, ou 39 $ par action. Mais les dirigeants de TransAlta ont refusé catégoriquement, soutenant que ce prix sous-évalue la compagnie. Aujourd’hui, les acheteurs retirent leur offre parce qu’ils estiment que leur vis-à-vis manque de réalisme. « Globe and Mail »
Après avoir récemment annoncé l’achat d’une participation dans la société de gestion CI, voilà que la banque canadienne la moins touchée par la crise, Banque Scotia, s’intéresse à la banque régionale américaine National City. Mais la Scotia n’est pas seule dans la course. Le nom de PNC Financial Services circule également. « The Gazette »
Évoquant des délais avant que le remède ne fasse effet, le secrétaire au Trésor américain, Henry Paulson, a déclaré hier que d’autres faillites d’institutions financières étaient à prévoir aux États-Unis malgré l’adoption vendredi dernier du plan de sauvetage des banques. Il a toutefois ajouté que la pression restait très forte sur les marchés financiers mondiaux, ce qui, selon lui, confirme la nécessité d’une mise en oeuvre rapide du plan de soutien de 700 G$ US. « La Presse Affaires »
Les pays de l’Union européenne sont toujours en quête d’une solution concertée face à la crise. Des observateurs cherchent à accélérer la cadence, car chaque jour qui passe provoque une hausse du coût du sauvetage des banques. « L’Express »
Depuis le début de la semaine, les trois plus grandes banques d’Islande, en proie à une grave crise financière, sont passées sous le contrôle de l’Etat. Après la mise sous tutelle de Ladsbanki et Glitnir, le gouvernement a annoncé aujourd’hui la nationalisation de Kaupthing, la première banque du pays. « Toronto Star »
Renfloué de 85 G$ US par la Fed il y a trois semaines, AIG a déjà épuisé la majeure partie des crédits qui lui avaient été accordés. La réserve fédérale va donc lui octroyer 37,8 G supplémentaires. Mais pour rembourser le gouvernement, l’assureur sera obligé de vendre des activités. Tout ça survient alors que la compagnie est au coeur d’une polémique sur un séjour de luxe payé à ses dirigeants juste après la nationalisation. « Journal de Montréal »
La Banque Royale du Canada devra racheter l’équivalent de 850 M$ US d’Auction Rate Securities (ARS), vendus à plus de 2 000 clients, suite à un règlement à l’amiable survenu hier avec la Securities and Exchange Commission. On se rappellera que les investisseurs sont dans l’impossibilité de revendre ces titres, le marché s’étant asséché. « Globe and Mail »
Une réunion du Groupe des 20, rassemblant les ministres et banquiers centraux des principaux pays riches et émergents, aura lieu samedi à Washington en marge des réunions d’automne du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale, a-t-on appris mercredi. Le G-20 discutera de la manière dont les pays peuvent se coordonner pour réduire les effets des turbulences des marchés mondiaux et prévenir le ralentissement économique. « Le Point »
Hier, la Banque du Canada et d’autres banques centrales, dont la Fed, ont réduit leurs taux d’intérêt de 0,50 % dans un effort concerté visant à stimuler les prêts et la croissance économique. Les banques commerciales canadiennes ont également diminué leur taux préférentiel, mais de façon moins énergique. « La Presse Affaires »
Hier, le président de la République et la banque centrale du Mexique sont intervenus pour freiner le recul de la devise nationale face au dollar américain et protéger l’économie des effets de la crise financière mondiale. Banco de Mexico a injecté 2,5 G$ US sur le marché national des changes, sans stopper dans l’immédiat le recul du peso, qui a perdu près de 25 % face au billet vert depuis août dernier. Elle a cependant réussi à le contenir. De son côté, le président, Felipe Calderon, a annoncé en fin de journée, dans une intervention télévisée, un programme national d’infrastructures d’un montant de 53 G de pesos (4,25 G$ US) en 2009 pour combattre les effets de la crise financière internationale. Le gouvernement a aussi revu ses prévisions de croissance pour 2008 et 2009, respectivement à 2 % au lieu de 2,4 % et 1,8 % au lieu des 3 % prévus auparavant. « Le Point »
Confirmant un mouvement de consolidation dans le secteur financier, la Caisse d’épargne a donné son accord hier à une fusion avec la Banque populaire, qui permettra à ces deux banques mutualistes de former la deuxième institution de dépôt française. « Le Devoir »
International Business Machines résiste pour le moment à la crise. Hier, la compagnie a dévoilé un bénéfice net en hausse de 20 % au troisième trimestre, à 2,8 G$ US, surpassant ainsi les prévisions des analystes. IBM a aussi réaffirmé ses prévisions assez positives pour le reste de l’année, évoquant la stabilité de ses revenus et profits, son positionnement dans les marchés émergents, sa gamme de produits et services et sa situation financière solide et flexible. « Globe and Mail »
Ce matin à 9 h 59, le CAC 40 a été suspendu pendant un quart d’heure pour éviter l’effondrement. Euronext a arrêté de calculer l’indice, conformément à sa réglementation, car 35 % de la capitalisation de l’indice boursier était réservée à la baisse. Après la reprise de la cotation, quatre titres ont été suspendus car 35 % de leur valeur respective était toujours réservée à la baisse. Mais à 11 heures, toutes les transactions ont repris. Les autres Bourses européennes étaient aussi en chute libre mercredi matin, après le plongeon de 9,38 % de la Bourse de Tokyo, dans un marché affolé par la propagation de la crise financière et ses répercussions sur l’économie mondiale. « Le Point »
La Grande-Bretagne vient d’annoncer un vaste plan de soutien à son secteur financier prévoyant un programme de recapitalisation des banques de 100 G$ CA (50 G de livres) au plus et un apport de liquidités de la Banque d’Angleterre d’au moins 200 G de livres. D’autres pays européens songent aussi à mettre sur pied un plan de sauvetage. « Globe and Mail »
Face aux craintes de ralentissement de l’économie, l’autorité monétaire de Hong Kong a annoncé mercredi qu’elle allait baisser son principal taux d’intérêt d’un point de pourcentage, à 2,5 %. Il s’agit d’un événement historique puisque Hong Kong suit en général les réductions de taux de la Banque fédérale américaine étant donné que sa monnaie est alignée sur le billet vert. Mais pressentant une baisse prochaine de taux aux Etats-Unis, la banque centrale du pays a devancé la Fed. « Le Monde »
L’agence de notation de crédit DBRS a rabaissé la cote du géant des télécommunications canadien BCE au niveau de BBB, soit au rang des obligations de pacotille. Dans ce contexte, Teachers et ses partenaires pourront-ils trouver les 34 G$ CA dont ils ont besoin pour financer leur acquisition ? « Le Devoir »
Le déficit budgétaire des Etats-Unis pour l’exercice 2008 (clos à la fin de septembre) a atteint 438 G$ US, soit 3,1 % du produit intérieur brut (PIB), a indiqué mardi le bureau du Budget du Congrès américain (CBO). À titre de comparaison, le déficit budgétaire pour l’exercice 2007 s’était établi à 163 G$ US, ou 1,2 % du PIB, selon le CBO, qui surveille les dépenses fédérales au nom du Sénat et de la Chambre des représentants. « Le Point »
Le constructeur automobile suédois Volvo Cars, filiale du géant américain Ford, a annoncé mercredi qu’il allait supprimer 3 300 emplois supplémentaires en Suède et dans le monde, portant à quelque 6 000 les coupures de postes engagées cette année. « Le Point »
Le producteur américain d’aluminium Alcoa a dévoilé hier un bénéfice net divisé par deux au troisième trimestre. Le repli de la demande et des prix de l’aluminium et la hausse des coûts de production expliquent ce résultat. « La Presse Affaires »
Hier, les places boursières nord-américaines ont fait une chute vertigineuse, malgré l’adoption du plan Paulson. Les clauses suspectes greffées au plan de sauvetage et la façon dont s’est négociée la vente de Wachovia ont soulevé des inquiétudes. Aujourd’hui, les Bourses asiatiques ont à nouveau été secouées par la crise financière. Toutefois, ce matin, les places européennes ont ouvert en hausse, les investisseurs semblant rassurés par les efforts des gouvernements pour protéger le système financier.
Le gouvernement islandais a pris le contrôle mardi de la banque Landsbanki. « Comme annoncé par le gouvernement, tous les dépôts nationaux sont entièrement garantis », affirme dans un communiqué l’Autorité de supervision financière. « Nouvel Observateur »
Le président russe, Dmitri Medvedev, a annoncé aujourd’hui l’octroi de crédits allant jusqu’à 950 G de roubles, soit environ 26,7 G d’euros, aux banques russes pour consolider leurs fonds propres. « Le Figaro »
La banque centrale australienne a réduit son taux d’intérêt officiel de 1 %, à 6%, en réponse à la tourmente financière actuelle, alors que le Japon a maintenu ses taux inchangés. « Journal de Montréal »
La Banque Scotia du Canada a versé 2,3 G$ CA en échange de la participation de 37 % que détenait l’assureur canadien Financière Sun Life dans le fonds de revenu CI Financial, une société de gestion canadienne. La vente de cette participation, qui avait coûté quelque 1,3 G$ CA à Sun Life, survient alors que l’assureur vie est à la recherche d’opportunités d’acquisition dans le monde entier, en particulier aux Etats-Unis. « The Gazette »
Le leader mondial Gemalto, spécialisé dans les cartes à puce, a lancé hier une offre d’achat hostile sur son homologue Wavecom, pour 112 M d’euros. « Le Figaro »
Le français Veolia Eau et Mubadala Development Company, basée à Abou Dhabi, ont annoncé la création d’une société commune dans la production d’eau et la collecte et le traitement des eaux usées au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. « Nouvel Observateur »
Malgré une série de modifications destinées à attirer davantage de personnes sur son marché en ligne, eBay supprime 1 600 emplois, soit 10 % de ses effectifs, un nombre record depuis la création du leader du commerce électronique. Par ailleurs, la compagnie aérienne Aer Lingus envisage de supprimer 1 500 emplois, selon une source syndicale. « Le Devoir » « Journal de Montréal »
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