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jeudi 24 mai 2012, par Christine Deslandes
À l’issue d’un sommet informel à Bruxelles, les chefs d’État européens ont affirmé vouloir garder la Grèce au sein de la zone euro. Mais ils ont néanmoins commencé à réfléchir aux mesures à prendre advenant sa sortie.
Le président français a profité de l’occasion pour militer en faveur des euro-obligations. Une avenue que semblent rejeter l’Allemagne, la Finlande, les Pays-Bas et la Suède.
Angela Merkel a rappelé l’importance du respect des engagements, comme la réduction des déficits et les réformes structurelles, pour demeurer dans la zone.