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mercredi 1er août 2012, par Christine Deslandes
La banque française Société générale a déclaré pour son 2e trimestre un bénéfice net en baisse de 42 %, à 433 M d’euros. Les analystes tablaient en moyenne sur 764 M d’euros.
Les résultats de l’établissement ont été plombés notamment par la dépréciation de l’écart d’acquisition de deux filiales, soit Rosbank, première banque privée russe, et TWC, une société de gestion américaine. Son portefeuille d’actifs à risque gérés in extinction (isolé du reste du groupe depuis la crise financière) a aussi eu un impact négatif.