Nouveau coup dur pour la firme d’ingénierie canadienne SNC-Lavalin (SNC, tor.). La justice suisse a lancé une enquête et parle désormais de paiements douteux s’élevant à 139 M$, soit 2 fois plus que ce qui avait été établi par l’entreprise. Une partie de ce montant pourrait être liée à du blanchiment d’argent. On laisse également entendre que Riadh Ben Aïssa, ancien vice-président de SNC-Lavalin, déjà désigné coupable, aurait des complices au sein de la firme.