|
mardi 16 août 2011, par Christine Deslandes
Au deuxième trimestre, la croissance dans la zone euro a ralenti nettement pour se fixer à 0,2 %. Ce taux est plus faible que ce que les économistes espéraient (0,3 %). Une situation attribuable aux difficultés des pays les plus fragiles et au coup d’arrêt subi par la France et l’Allemagne.
Le PIB allemand n’a avancé que d’un maigre 0,1 % au deuxième trimestre. Ce coup de frein brutal est venu du commerce extérieur. Malheureusement, cela pourrait avoir des conséquences politiques lourdes puisque Angela Merket fait face à de la dissension. Une vingtaine de ses députés menacent en effet de ne pas voter en faveur de la nouvelle aide accordée aux pays en difficulté.