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lundi 13 août 2012, par Christine Deslandes
Plusieurs se souviennent de la très médiatisée commission sénatoriale, présidée par Carl Levin, qui cherchait à comprendre le rôle de Goldman Sachs et de ses employés dans la crise des prêts hypothécaires à risque. M. Levin et d’autres responsables américains avaient alors accusé la banque de tromper les investisseurs sur ces offres de produits. Ils ont demandé au ministère de la justice de se pencher sur la question.
Or, le département de la justice a décidé, sur la base du droit et des preuves existantes, de ne pas entamer de poursuites pénales à l’égard de Goldman Sachs ou ses employés. Un soulagement pour la banque, qui a déjà versé 550 M$ US à la SEC pour régler certaines accusations en rapport à cette affaire.