Les avis sont partagés quant à la direction que prendra le prix du pétrole. Pendant que des opérateurs prennent des paris sur une hausse du pétrole brut d’au moins 15 %, en faisant l’hypothèse qu’un conflit avec l’Iran provoquera la plus grande perturbation des approvisionnements en pétrole du Golfe Persique depuis 1991, d’autres analystes, notamment ceux de Bank of America et d’IHS Jane, soutiennent que les craintes sont exagérées.