La Grèce ne semble pas prête à accepter une surveillance économique accrue en échange de l’aide de l’Union européenne. Cette opposition a entraîné de nouveaux tumultes sur les marchés. Les actions européennes ont baissé et s’orientent vers leur plus forte baisse de deux jours en deux mois, les obligations du Trésor ont augmenté, et l’euro a faibli. Les obligations d’État italiennes ont baissé à l’adjudication de titres de créances, et le coût pour assurer les obligations portugaises a atteint un niveau record.