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lundi 2 juillet 2012, par Christine Deslandes
La détérioration des perspectives mondiales et les inquiétudes concernant la crise de la dette européenne ont poussé des analystes à réduire leurs prévisions de bénéfices pour le premier semestre.
Résultat, le consensus 2012 au sujet de la croissance du S&P 500 est maintenant de 6,5 %, en baisse de 10 % par rapport au début de l’année. Tous les secteurs, sauf les valeurs financières, ont été revus à la baisse.
Quant au S&P/TSX, qui évolue en fonction du prix du pétrole, le consensus est maintenant légèrement au-dessus de 900 $ comparativement à environ 960 $ au début de l’année.
Comme la publication des bénéfices du deuxième trimestre débute officieusement le 9 juillet, les investisseurs pourront juger si ces révisions à la baisse étaient justifiées.