|
lundi 28 mai 2012, par Christine Deslandes
La patronne du FMI s’est attirée les foudres des Grecs en les tenant responsables de leurs difficultés. Elle a déclaré en entrevue que « si les Grecs payaient leurs impôts, le pays s’en porterait mieux ». Déjà échaudés par leur situation précaire, les Grecs ont très mal pris le commentaire. Depuis lors, Mme Lagarde tente de désamorcer la situation.
Les pays européens en bonne santé financière et ceux en difficulté n’en sont pas à leur première escarmouche. On se rappellera que durant la campagne présidentielle française, Nicolas Sarkozy avait dit que la France connaîtrait le même sort que l’Espagne si François Hollande était élu. Les Espagnols n’avaient pas apprécié ces propos.