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mercredi 7 mars 2012, par Christine Deslandes
Il est peu probable que la Grèce réussisse à obtenir un accord volontaire de tous ses porteurs d’obligations, nécessaire à la restructuration de sa dette, avant la date butoir de jeudi, ce qui explique la nervosité des marchés. Reste que les autorités du pays répètent qu’elles sont prêtes à forcer la main aux créanciers par d’autres moyens.
Société Générale, deuxième banque de France, Assicurazioni Generali et UniCredit sont au nombre des créanciers privés qui ont accepté de participer à l’échange de dettes.