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jeudi 28 octobre 2010, par Christine Deslandes
Landry Morin - La plupart des grands indices boursiers dans le monde sont à un niveau inférieur à leur sommet d’il y a 10 ans, et ce, malgré le fait que la rentabilité des sociétés demeure élevée. Il en résulte que les actions sont peu dispendieuses.
Si on prend les niveaux actuels selon les 4 ou 5 critères d’évaluation généralement reconnus et on les compare à leurs niveaux historiques, on s’aperçoit que les actions ont rarement été si attrayantes. Aux États-Unis, par exemple, le prix auquel les titres de grande capitalisation s’échangent est inférieur à 15 fois les bénéfices par action. Pourtant, ces titres offrent un rendement en dividendes de 2 %, contre un rendement de 2 ½ % pour les obligations 10 ans du Trésor américain. Rarement le rendement des actions relativement aux obligations n’a été aussi attrayant.