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vendredi 11 mai 2012, par Christine Deslandes
La banque américaine JP Morgan, pourtant réputée pour sa maîtrise des risques, aurait réaliser des pertes de plus de 2 G$ US suite à des achats importants de titres de crédit synthétiques. Le trader français surnommé « la baleine de Londres » serait à l’origine de ces pertes cumulées en 6 semaines, qui pourraient encore grossir.
Pour les législateurs américains et les groupes de pression favorables à une réglementation plus ferme des opérations pour compte propre des banques, les déboires de JP Morgan sont un argument de plus justifiant leur position.