Ce matin, le parlement grec a adopté le nouveau plan d’austérité exigé par les créanciers du pays afin de pouvoir éviter la faillite et rester dans la zone euro. Le plan prévoit des mesures drastiques telles des privatisation, une baisse de 22 % du salaire minimum, la suppression dans l’année de 15 000 emplois publics et de nouvelles coupes dans les retraites. L’adoption de ce plan a entraîné des émeutes dans le pays, de même que des démissions de politiciens.