|
jeudi 16 février 2012, par Christine Deslandes
Les premiers appels publics à l’épargne (PAPE) se sont chiffrés à 2 G$ en 2011, selon le dernier sondage annuel de PwC. Il s’agit de la 3e pire performance annuelle depuis 2001.
En 2010, les Bourses canadiennes avaient généré 73 émissions d’une valeur de plus de 5,5 milliards. « L’incidence de la crise européenne de la dette s’est fait lourdement sentir au cours du dernier trimestre de 2011, affirme Alain Michaud, leader national des Services des premiers appels publics à l’épargne de PwC à Montréal. Les importantes fluctuations des marchés boursiers, causées par la crise de la dette souveraine en Europe, ont défavorisé les PAPE. Au dernier trimestre, il était presque impossible pour les sociétés de trouver un marché stable pour effectuer un premier appel public à l’épargne et les résultats reflètent cette volatilité. »